Un test de sécurité concluant
Original French
SX-500 : Josephine Jackson
Fembot asiatique : modèle inconnu
Au beau milieu d’une nuit parisienne, le calme régnait sur la butte Montmartre. Les touristes ont déserté depuis longtemps les derniers bars encore ouverts et les habitants dormaient paisiblement dans leurs appartements. Personne ne se trouvait dehors lorsqu’on entendit soudain, au bout de la rue, le bruit de talons s’approchant d’un distributeur de billets.
Sous la lumière d’une devanture de magasin, il était possible de distinguer nettement l’allure de cette sublime femme. Grâce à ses talons à plateforme noirs de soirée, cette blonde pouvait bien mesurer dans les 1m75. Elle était vêtue d’un long manteau noir mais ses collants et ses gants en latex étaient bien visibles. En l’observant de plus près, il s’agissait bien d’une escorte girl qui se dirigeait vers ce distributeur de billets.
Devant la machine, elle inséra sa carte bancaire quand une voix l’interpela. Cela provenait d’un tas de poubelles à deux mètres du distributeur.
« Hé, tu pourrais me lâcher un petit billet pour survivre, s’il te plait ? », lui lança une femme asiatique environ la trentaine.
L’escorte-girl ne fait même pas un signe dans sa direction et elle continua sa transaction avec le distributeur.
« Hé la pouffiasse, je te parle ! Passe un billet s’il te plait » rechérit la sans-abri. Elle commença à ramper avec difficulté vers la jambe de l’escorte quand celle-ci lui répond enfin tout en s’écartant avec colère.
« Dégage ! Ne t’approche pas de moi avec tes sales pattes. » « Ah, la pute ne sait pas uniquement sucer des queues mais elle est capable de répondre ! Je te demande un seul billet, c’est trop demander ? »
L’escorte recommença à l’ignorer. L’asiatique observa silencieusement la prostituée taper sur le clavier du distributeur quand elle reprend la parole après quelques secondes.
« Une pute aussi classe que toi, ce n’est pas habituel, tu dois être sûrement une pouffiasse robotique. Oui c’est ça, tu n’es qu’une putain de robot et un robot radin par-dessus le marché. » Devant son silence, elle reprend la conversation : « Oui, c’est bien ce que j’ai pensé, un robot. »
Sans dévier du regard l’écran du distributeur, l’escorte lui répond : « Et qu’est-ce que cela peut te foutre ? ».
« Je veux juste que tu me lâches un billet, tu sais moi aussi je suis un robot comme toi. Vas-y, donne-moi de l’argent, j’en ai besoin pour recharger ma batterie.
L’escorte arrête d’observer le distributeur et esquisse un sourire sur son visage. Elle ouvre délicatement son manteau et s’accroupi devant le vieux robot asiatique, lui offrant la vue sur une belle chatte bien lisse et un haut en latex renfermant une grosse paire de seins.
« Oh tu sais, quand cette nuit j’irai me faire défoncer ma chatte et mon cul synthétique par des bites des plus gros riches parisiens, toi tu attendras sagement les éboueurs qui viendront ramasser l’épave que tu es. Demain soir, à la même heure tu seras désassemblée pour le recyclage. Personne ne se souviendra de ta misérable existence. Demain soir, à la même heure je serai nettoyée et rechargée pour une nouvelle soirée ».
Du bout des doigts, l’escorte-girl souleva le t-shirt de l’asiatique. Un panneau d’accès ouvert indique 9% de batterie restante. « Profite bien de tes derniers instants, sous-merde ! » Avant de se relever et de finir sa transaction bancaire, l’escorte lui lança un crachat sur le visage.
« Je suis le tout nouveau modèle SX-500 de l’entreprise I-Fembot Company ! La pute robotique la plus développée de tout Paris. Aucun robot ne m’arrive à la cheville… ».
Pendant que l’escorte expliquait fièrement ses compétences sexuelles, elle terminait de taper son code secret sur le distributeur. C’est à ce moment précis que le robot asiatique planta un câble dénudé dans la cheville de l’escorte pour l’électrocuter et pour la faire griller. Une couverture spéciale permis à la clocharde de ne pas se faire court-circuitée avec la pute robotique.
Tout le corps de l’escorte-girl se raidit d’un coup. La violente décharge électrique provenant d’une batterie haute-tension cachée dans les poubelles lui provoqua des dommages irrémédiables. Ses jambes étaient comme ancrés dans le sol tandis que ses bras se balançaient d’une manière complétement désordonnée et robotique. Son visage se tordait dans tous les sens. Tellement que la décharge a été puissante, les sons et les messages d’erreurs étaient incompréhensibles. Les rares mots qu’on pouvait percevoir de son haut-parleur à l’intérieur de sa gorge était « connasse » et « salope ».
On arrivait bien à lire l’inquiétude et l’impuissance sur son visage quand une explosion projeta son masque facial contre le distributeur laissant apparaître ses composantes électroniques cachées dans sa tête. Plusieurs LED lumineux rouges clignotaient rapidement. La pute robotique était clairement à l’agonie quand une seconde explosion, bien plus puissante que la première, souffla son panneau d’accès abdominal. Le choc la déséquilibra et elle s’écroula en arrière sur le sol avec les deux jambes écartées.
L’asiatique arrêta le supplice de l’escorte-girl complétement grillée de l’intérieur et fumante de l’extérieur. Elle se leva tant bien que mal et regarda la pute robotique totalement détruite. Ses réservoirs de fluides et de sperme usagé coulaient depuis sa chatte sur le sol et les derniers mouvements agoniques se dissipaient.
« Petite merde » lui lança l’asiatique tout en prenant la liasse de billets sorti du distributeur. Soudain, l’alarme de la banque commença à sonner dans la rue. La voleuse robotique pris la fuite en essayant de courir comme elle le pouvait. C’était peine perdue. Le système de sécurité de la banque a détecté le braquage. Une fente s’ouvrit du mur de la banque et une sorte d’harpon fut projeté en direction de l’asiatique. La flèche lui traversa le dos et traversa la poitrine. Elle a eu à peine le temps de regarder son torse et de dire « Merde » qu’une décharge électrique 100 fois plus puissante que pour la pute robotique, la pulvérisa en un rien de temps. L’explosion de son vieux corps éparpilla, sur une dizaine de mètres, des morceaux de fils et des composantes électriques.
Justice a été rendue même s’il ne s’agissait que d’une mise en scène dans un entrepôt de l’entreprise I-Fembot Company pour le compte d’une banque européenne intéressée par les nouveaux gadgets de sécurité high-tech.
Un robot sexuel haut de gamme et un vieux tas de ferraille ont été détruits mais les bénéfices engendrés par cette démonstration pourront se chiffrer à des milliers d’euros.
Tandis que les techniciens et les hommes d’affaires quittaient l’entrepôt, satisfait de ce qu’ils ont vus, un groupe de fembot de maintenance arrivaient sur le site pour ramasser les morceaux des deux unités robotiques complétements détruites.
English Translation
SX-500 : Josephine Jackson
Asian fembot : Unknoown model
In the dead of a Parisian night, quiet reigned over the hill Montmartre. Tourists had left long ago and locals were sleeping soundly in their apartments. With seldom any bar still open, no one was out - until the sound of high heels was suddenly heard, closing in on a cash dispenser. Storefront lights silhouetted a beautiful and alluring woman. With her black platform heels, she measured a meter seventy-five, draped in a long black coat that still exposed shining latex gloves and stockings. She was more than likely an escort-girl, out to get some cash.
Stepping to the machine, she slipped her credit card in when a voice hailed her from a trash pile two meters away.
"Hey, could you drop me a bill? I need something to survive", asked an Asian woman in her thirties, crawling out from underneath trash bags.
The escort-girl didn't even spare her a look, continuing her transaction.
"Hey, I'm talking to you, skank! Slip me a note, will you?" the homeless woman asked again. She began to laboriously crawl towards the escort, reaching out a hand when the escort-girl finally looked down on her, stepping aside with a look of disgust.
"Back off! Don't touch me with your filthy paws!"
"Ah, so the whore doesn't only suck cocks, she speaks too! Come on, just slip me one note, is that too much to ask?"
The escort-girl ignored her again. The Asian woman silently observed her for a few seconds as she punched in her code on the cash dispenser's keypad, before talking again.
"A prostitute as classy as you isn't common. You must be one of those robot whores. Yeah, that's it. You're just some piece of shit robot, and a stingy one at that," she spat to no reaction. "Yeah, that's what I thought, a robot."
"And what is it to you?" the escort-girl replied without turning her head.
"I just need you to drop one note. I'm a robot too, you know. Come on, give me some cash, I need to get my battery recharged."
The escort stopped typing, a smile creeping on her face. Opening her coat, the crouched in front of the worn-out Asian droid, exposing a latex dress barely containing her generous breasts and a smooth pink pussy.
"Tonight, I'm going to get my synthetic ass and pussy wrecked by the largest cocks from the richest fucks in Paris. Meanwhile, you'll be quietly waiting for the garbage collectors to pick up the wreck that you are. Next time tomorrow, you'll be getting summarily disassembled for reclamation, while I'll be all cleaned up and recharged, ready for yet another night out. And no one will remember your miserable existence."
With the tip of a finger, the escort-girl pulled up the Asian droid's T-shirt. Underneath, a screen in an open access panel flashed 9% remaining battery. "Enjoy your last night out, you worthless piece of junk," she sneered as she got up, spitting on the droid and returning to her transaction. "I'm the latest SX-500 model from I-Fembot company! The most advanced robot-whore in all Paris. No other fuck-bot comes even close to me…"
While she gloated about her sexual prowesses, the escort-girl finished inputting her credit card code on the cash dispenser. Precisely then, the Asian robot stabbed her ankle with an exposed electrical wire.
The escort-girl stiffened at once, as a car battery hidden under the trash pile violently discharged into her, electricity burning through her robotic body. Her legs seemed anchored into the ground while her arms flailed around erratically and spasmodically. The shock was so intense that the speaker at the back of her throat was reduced to a harsh buzz - "bitch" and "whore" were among the few understandable words coming out of hr.
Even as it twisted into ugly rictuses, panic and helplessness were clearly setting in on her face - until it flew off in an explosion, hitting the cash dispenser's screen. The escort-girl's face was now a hole of exposed electronic components, with red LEDs rapidly flashing. She was clearly on her last legs when a second, even more powerful explosion blew out her abdominal access panel, sending her flat on her back, her legs spread out.
A special blanket had allowed the homeless sex-bot to not get fried along with the robotic escort-girl. Dropping the cable, she stood up and looked upon her rival's wreck. Her fluids and used cum containers had burst, their slimy content dripping from her snatch onto the ground as she went through her last agonized spasms.
"You two-bit slut," spat the Asian woman, snagging the stack of bank notes from the dispenser. Immediately, an alarm rang out. The robotic thief began running the best she could, in vain. The cash dispenser had detected a theft, and a slot opened in the wall. A device fired something like harpoon, hitting the gynoid in the back and coming out of the front of her chest.
"Shit," she barely had time to say before an electric discharge a hundred times more powerful that what she had used on the robotic whore went through her, pulverizing her body in an instant. The explosion spread charred wires, electronic parts and other remains of her worn-out body in a ten-meters radius.
Justice had been served, even if it had all actually been a staged show in some I-Fembot Company's warehouse for the benefit of a European bank interested in high-tech security gimmicks. A destroyed top of the line sexbot and some old fuckbot junker were small expenses in the face of a potential million-euros deal.
As the technicians and the businessmen exited the warehouse, pleased with the showing, a crew of maintenance fembot entered the scene to pick up the pieces of the completely obliterated female robots.